Trampolines de marbre
On attribue à la folie des tunnels de l’organiste l’importance grandissante de l’enclume dans les discussions au pied du mur. La compétition est granuleuse, tempérée du savant combat du savoir et du sempiternel devoir d’égalité. Les dimensions sont toutes parallèles, cubiques et vont à l’encontre d’une fusillade des démons mutuels et persistants. Également appropriées, les sagesses saugrenues s’identifiant à l’opposé du sens répertorié, à tel point qu’il est indispensable d’opérer l’hexagone à huis-clos et dans le dos des participants modérés derrière des miroirs en embuscade.
Parsemé d’îlots en îlots de sourires rehaussés de moustaches caduques implicitement étiquetées de promesses vides, le soufre des prunelles s’évapore comme une cicatrice bâclée donnant au prieuré du golfe persan une teinte rouge mondaine à laquelle les patriotes s’identifie comme à leur terre de feu. Le no man’s land entre les grottes et les cavernes s’étoffe de songes kilométrés à perfection sans même un soupçon d’intervention divine. D’un battement d’aorte insignifiant, toute l’écume des fins de journée balaie l’ordre établit, la bataille est double car l’endorphine est montée d’échéance subsidiaire et ornée du marbre dont on fait les meilleurs trampolines.
Soyons fou et écrivons l’alphabet Braille sur une pirogue imaginaire !